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Claude : une Vie, une Oeuvre, une Empreinte
Publiée le 09 janvier 2025
Si j’étais un fruit, je serais le fruit de la passion parce que c’est ce qui anime ma vie,
Si j’étais un pays, je serais le Népal qui abrite le plus haut sommet du monde,
Si j’étais un animal, je serais un ours (en peluche), car je suis doux, bienveillant mais aussi parce que je veille sur les miens
Si j’étais un végétal, je serais un grand sapin en plein milieu de la forêt,
Si j’étais un sport, je serais un sport de montagne, où il faut rester humble et être toujours plus exigeant avec soi,
Si j’étais une musique, je serais « Show must go on », parce que quoiqu’il arrive, il ne faut pas s’arrêter,
Si j’étais la touche d’un clavier d’ordinateur, je serais « INSER », pour pouvoir rajouter une à une toutes les idées que j’ai dans la tête,
Si j’étais un vêtement, je serais une casquette, pour ne pas avoir froid à la tête,
Si j’étais un objet, je serais une dégaine, pour retenir la chute,
Si j’étais une couleur, je serais le blanc des sommets, le vert des alpages, le bleu du ciel,
Si j’étais un véhicule, je serais électrique, c’est mon côté écolo,
Si j’étais un meuble, je serais une table autour de laquelle tout se discute, tout se partage
Si j’étais un personnage historique, je serais Gandhi pour lui piquer ses sandalettes,
Si j’étais un personnage de fiction, je serais James West pour son ingéniosité et pour être l’ami d’Artémus Gordon, l’as du déguisement,
Si j’étais un signe de ponctuation, je serais les trois petits points de suspension, parce qu’il y a toujours une suite
Si j’étais un plat, je serais une fondue savoyarde autour de laquelle tout le monde se retrouve et où s’entremêlent les fils, l’amitié et les générations.
Portrait chinois de Claude à qui le CT69 FFME doit tant, doit tout. Claude qui n’a jamais rien demandé en retour et c’est cela le véritable engagement bénévole. Son moteur ? Le bonheur de voir les gones rires, les amitiés se lier et les souvenirs à la pelle lors des stages des équipes départementales ; le plaisir de voir les bénévoles débutants sur les formations qui s’investissent ensuite dans leurs clubs ; la responsabilité d’une équipe de jeunes salariés, menés avec humanité, qui s’épanouit, la fierté des circuits de compétitions qui se développent, le partage avec
toutes et tous. L’amitié.
Merci Grand Claude pour tout.